Dans l’article de Sud-Ouest du 7 janvier « Les touristes dans la roue de Lawrence d’Arabie », le rédacteur évoque en 1908 le passage, à pied et à vélo, du célèbre aventurier que sa passion pour l’époque médiévale a conduit sur les routes du Périgord Noir.
Le journaliste parle de la pratique du vélo qui connaît un essor conséquent ces dernières années avec une augmentation de plus de 14% du passage en deux ans sur les vélo-routes et les voies vertes de France et que la randonnée pédestre est la première activité sportive pratiquée en vacances par les français. « Dans les années à venir le phénomène devrait s’amplifier. Les pouvoirs publics pédalent de plus en plus dans ce sens, pour le plus grand plaisir également des locaux. La randonnée est déjà bien développée avec de nombreux itinéraires balisés et entretenus. Du côté du Pays de Fénelon, un nouvel itinéraire « grande randonnée » devrait naître en 2022. Pour le vélo, la voie verte entre Sarlat et Cazoulès confirme son succès d’année en année ».

Le rédacteur de cet article cite le point noir du Pas du Raysse entre falaise et rivière, mais pas un mot du point noir de Beynac, ni du projet en cours pour le résoudre qui passe pourtant tout près de chez lui, à la Treille. Trop près peut-être, pour en parler !
Lorsque Lawrence d’Arabie pédalait sur les routes du Périgord, la traversée de Beynac était le domaine des charrettes et des oies ; elle est aujourd’hui encombrée par la circulation des poids- lourds.
Malgré son goût pour l’aventure, pensez-vous qu’en 2021, il prendrait le risque de traverser Beynac à vélo ?